Bio
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Taille : 172 cm
Cheveux châtains
Yeux verts foncés
Plongée depuis l’enfance dans un univers artistique, elle commence très tôt le violon, puis quelques années plus tard se passionne pour la harpe. Elle entre dans la classe de Catherine Michèle, puis dans celle d’Isabelle Perrin, où elle obtient son prix de perfectionnement au Conservatoire National Supérieur de Paris en 2002.
Artiste aux multiples facettes, elle tourne à l’âge de 5 ans un premier rôle pour le cinéma, partenaire de Maria De Medeiros et de Joachim de Almedia.
Parallèlement à ses études universitaires de Lettres Modernes et de Théâtre à la Sorbonne, elle se produit dans des spectacles de poésie et de théâtre, en tant que comédienne ou harpiste. Ainsi, elle rencontre et travaille avec des auteurs et des musiciens comme Octavio Paz, Fernando Arrabal, Alain Jouffroy, Jean-Clarence Lambert, Jean-Loup Philippe, et Jean-Yves Bosseur. Elle travaille aussi pour la radio, la voice over, le doublage, et fait plusieurs créations de voix avec animations corporelles en 3D. Ainsi, sans cesse, elle compose, réinvente son jeu théâtral et musical.
Elle monte sur scène dans des rôles de femmes enfant ou d’amazone avec une présence déconcertante, et intègre en 2009 La Compagnie des Dévoreurs d’Haleine Chaude, sous la direction de Laurence Imbert. Elle y obtient le premier rôle dans Le Nouvel Art d’Aimer.
Comme le poème de Rimbault dont elle porte le nom, Ophélia flotte comme un grand lys sur l’onde pure de la musique et des mots. Après avoir exploré la voie classique de l’orchestre symphonique et les concerts solistes, elle commence à écrire sur la musique du compositeur Jérémy Lecoq qui l’inspire, et fonde début 2011 le duo Paris’Click. Elle se produira avec cet ensemble dans des lieux prestigieux, comme le Théâtre du Rond-Point des Champs-Élysées, la Maison de la Poésie, ou le festival Les Voix de la Méditerranée de Lodève.
Dernièrement, elle interprète le rôle-titre dans Judith de Jean Giraudoux, au Théâtre du Nord-Ouest (Paris IX), et prépare la sortie de l’album de Paris’Click (www.parisclick.org).